Voici une nouvelle étude des possibilités de commutation. Le relais est connecté comme un vibreur de porte qui fonctionne en tout temps. L'étage du transistor Q1 fonctionne comme aucun autre étage de transistor ne l'a fait à date. Nous l'appellerons un commutateur à contrôle lumineux.
La sortie de cet étage est alors utilisée pour alimenter la polarisation B-E pour l'étage du Q2. La vitesse de mise en MARCHE ou D'ARRÊT est contrôlée par le relais et est à un régime d'audio de sorte que la sortie est entendue au haut-parleur lorsque la lumière frappe la cellule CdS.
Le fonctionnement du circuit est contrôlé par le commutateur Q1 fonctionnant à n'importe quel niveau de lumière désiré. Peut-être pouvez-vous songer à un usage pour un tel circuit, mais il est ici qu'à cause de son action de commutation unique.
Remarquez que comme le commutateur est fermé et que le contrôle est réglé pour le fonctionnement désiré, le Q1 reçoit une tension de base continue. Toutefois, le collecteur ne reçoit que des impulsions périodiques de tension lorsque l'armature (le contact mobile) du relais se déplace vers la bobine et fait contact momentanément avec le contact N.O. (normalement ouvert). Le courant de l'émetteur peut alors passer que durant les mêmes brèves périodes de temps.
Le courant d'émetteur du Q1 devient disponible comme courant d'émetteur de l'étage du Q2 pour qu'il puisse aussi conduire durant le bref temps d'impulsions de courant. Cette partie du courant d'émetteur du Q2 n'est que la partie qui cause la polarisation B-F pour l'étage. Ce courant de polarisation (entre E-B) met le Q2 en MARCHE pour que le courant en provenance de la pile 3 volts puisse passer dans le circuit et ainsi exciter momentanément le haut-parleur.
Le condensateur de 0.05 pF empêche la crête transitoire du transformateur de ruiner le transistor Q2. Cette crête est produite par l'arrêt soudain du courant au transformateur.