Les milieux humides

photo d'un étang
Photo: Service canadien de la faune

Le Canada est renommé pour ses lacs et ses cours d'eau innombrables. Les dépliants touristiques abondent en images superbes, évocatrices de la richesse et de l'immensité de notre patrimoine naturel. On hésite par contre à vanter le charme sauvage d'un marais ou d'un marécage, ou à exploiter l'attrait de ces milliers d'étangs, de cuvettes et de tourbières qui parsèment notre pays. Pourtant, c'est grâce à ces milieux humides que nos lacs, nos rivières et tous ces sites enchanteurs demeurent ce qu'ils sont avec toute cette saveur et cette vie qui nous font les apprécier.

Qu'est-ce qu'un milieu humide?

Un milieu humide est un espace à la surface du sol occupé une partie du jour ou de l'année par une étendue d'eau peu profonde. C'est généralement au printemps, avec la fonte des neiges et les crues, que l'eau, alors à son plus haut niveau, délimite l'espace qui constituera le milieu humide. Cette étendue d'eau diminuera avec les sécheresses de l'été, par évaporation, infiltration ou autrement, d'une façon graduelle et avec une amplitude variable selon chaque milieu. Toutefois, même les portions qui n'ont subi qu'une inondation de quelques heures au cours de l'année font partie du milieu humide. En eau salée, le phénomène de la marée apporte une contrainte spéciale à ces milieux puisqu'ils subissent durant quelques heures, deux fois par jour, un cycle d'inondation et d'assèchement qui implique parfois des variations du niveau d'eau de plus de 6 m.

Sur notre planète, il existe deux grands milieux : le milieu aquatique et le milieu terrestre. Le milieu humide s'avère un compromis complexe entre les deux. Très près du milieu aquatique lors des inondations, il devient presque un milieu terrestre durant les sécheresses. Le plus souvent, c'est quelque chose entre les deux, de la même façon qu'un village, à la fois ville et campagne, forme une entité bien particulière qui n'est ni l'une ni l'autre. C'est en fait l'éternel juste " milieu " et c'est là qu'il puise toute sa richesse et toute son importance.

Où les trouve-t-on?

Partout! Une simple petite flaque d'eau, un fossé sur le bord de la route, une dépression quelconque où l'eau des environs s'accumule...

Au Canada, ce pays de l'eau, baigné par deux océans, parsemé de lacs et sillonné de rivières, les milieux humides sont à la portée de tous. Les rives des lacs et des cours d'eau figurent parmi les sites les plus familiers où ces milieux se rencontrent. Il en va de même pour les régions côtières de la Colombie-Britannique, du Québec et des Maritimes, qui offrent aux nombreux touristes une profusion d'anses et de baies peu profondes où de vastes herbiers soumis à la marée constituent des milieux humides dont l'étendue parfois saisissante passe malheureusement inaperçue, masquée par des points de mire traditionnels tels qu'un phare, une côte fouettée par le ressac ou une barque de pêche. Les cuvettes des Prairies, les rives des Grands Lacs en Ontario, les deltas des cours d'eau et ces innombrables dépressions mal drainées du bouclier canadien offrent autant de situations propices à la découverte de milieux humides tous plus captivants les uns que les autres.

Les types de milieux humides

Autant la rivière se distingue d'un lac, autant les milieux humides qui occupent leurs rives sont différents. Parfois herbeux, parfois boisés, soumis à des marées gigantesques ou bénéficiant d'une grande stabilité du niveau d'eau tout au long de l'année, ces milieux revêtent des aspects si différents qu'on a parfois peine à les reconnaître.

Le jeu complexe de l'eau, les caractéristiques particulières des sols et une foule d'autres facteurs dont l'être humain n'est pas exclu contribuent à l'établissement de communautés végétales de types différents. Peu de plantes peuvent supporter l'effet des marées, et seules quelques essences d'arbres tolèrent des inondations prolongées. Les plantes des eaux courantes ne prennent guère racine dans les eaux stagnantes et acides, et les milieux humides du nord n'invitent pas les mêmes végétaux que ceux du sud. Aussi nous est-il possible de regrouper ces habitats en quatre grands types : l'étang, la tourbière (fen et bog), le marais et le marécage.

L'étang consiste en un bassin bien défini occupé en permanence par de l'eau stagnante et qui n'est envahi par la végétation qu'en périphérie. C'est un type de milieu qui se situe entre le lac et le marais.

On en retrouve à profusion dans cette immense région des prairies canadiennes, parsemée de milliers de dépressions appelées " cuvettes " qui originent du retrait des glaciers et qui s'étendent sur environ 750 000 km².

Ces cuvettes aux dimensions variables n'ont d'autres apports d'eau que ceux des pluies et de la fonte des neiges. Les plus grandes forment de véritables lacs, tandis que les plus petites entrent dans la catégorie des étangs lorsqu'elles conservent de l'eau en permanence; elles deviennent des marais lorsqu'elles s'assèchent durant certaines saisons ou plusieurs années.

En périphérie de ces étangs, les nénuphars étalent leurs larges feuilles à la surface de l'eau alors qu'une variété de plantes submergées en tapissent le fond.

photo d'enfants qui cherchent des fretins et des insectes dans un marécage
Photo: Service canadien de la faune

La tourbière est un milieu très particulier qui se caractérise par la présence de tourbe (une matière végétale plus ou moins décomposée) et une certaine quantité d'eau qui varie selon les saisons et dont la surface est couverte d'un tapis flottant de mousses, plus ou moins continu.

On distingue deux grands types de tourbières : le fen et le bog. Ils se différencient par la quantité de minéraux en solution dans l'eau, par le degré d'acidité qui en découle, par les espèces de mousses qui prédominent et par les essences d'arbustes et d'arbres qui parfois y croissent.

Quel que soit leur type, elles recouvrent une superficie importante de chacune des provinces depuis les tourbières maritimes de Terre-Neuve et de la région de l'Atlantique en passant par celles des montagnes Rocheuses jusqu'aux tourbières arctiques du Yukon.

On exploite la tourbe, une fois séchée, pour en faire du combustible et de l'humus.

Souvent associés à un étang, un lac ou un cours d'eau, les marais et marécages se présentent sous l'aspect d'étendues planes, parsemées à l'occasion de petites mares, de canaux et de zones dépourvues de végétation. Ces milieux connaissent souvent de grandes fluctuations du niveau d'eau, particulièrement ceux qui bordent les cours d'eau sujets à de fortes crues printanières.

Le marais favorise généralement une végétation d'herbes, de joncs et autres plantes aquatiques. Essentiellement, le marécage est un marais boisé. Le sud du Québec et de l'Ontario forment une région caractérisée par des marécages où alternent le thuya, le saule et l'aulne. On les retrouve fréquemment en bordure des tourbières.

Les marais se rencontrent tant en eau douce qu'en eau salée. En eau douce, ils revêtent des formes et occupent des lieux très variés. Le marais du lac Sainte-Claire dans le bassin des Grands Lacs, en Ontario, contraste fortement avec les estuaires des rivières de la Paix et Athabasca en Alberta. Le marais flottant du lac Saint-François, au Québec, a peu de choses en commun avec les cuvettes desséchées périodiquement qui caractérisent les Prairies.

En eau salée, ils sont habituellement soumis au rythme des marées et sont confinés aux régions côtières et aux estuaires. Le marais à scirpe (espèce de jonc) du cap Tourmente, au Québec, le marais à spartine (herbe d'eau salée) de Tintamarre, au Nouveau-Brunswick, et ceux de Qualicum, sur l'île de Vancouver, en Colombie-Britannique, figurent parmi les plus renommés.

Les milieux humides évoluent souvent avec le temps et passent d'un stade à un autre. Ainsi un marais peut devenir un fen, le fen un bog et le bog un marécage. L'évolution inverse est parfois possible. On peut également apercevoir plusieurs types de milieux humides dans un espace relativement restreint. Qu'il nous suffise d'imaginer un étang dont les rives aux pentes douces sont occupées par un marais en périphérie, par un marécage un peu plus haut, lui-même entouré d'un bog ou d'un fen.

À quoi servent les milieux humides?

Trop de gens se sentent obligés de répondre à cette question en alignant des chiffres, prétextant qu'il s'agit là de lieux impropres à la construction, sans valeur pour l'agriculture et inutilisables pour les loisirs, les sports et la récréation. Une solution s'impose, et c'est le remplissage.

Pourtant, il ne leur viendrait pas un instant à l'idée d'évaluer un coeur, un poumon ou un rein en termes d'argent. Les milieux humides sont les reins de notre environnement, et leur rôle consiste à filtrer l'eau de nos lacs, de nos rivières et même des océans de la même facon que nos propres reins filtrent notre sang.

Cette action se déroule sur plusieurs plans. La végétation retient les sédiments en suspension dans l'eau, contribuant ainsi à sa limpidité.

Certaines plantes ont la faculté d'emmagasiner dans leurs racines les polluants comme le mercure; d'autres utilisent les phosphates, purifiant ainsi nos eaux usées.

Comme les reins, les milieux humides sont des éponges géantes qui retiennent l'eau des pluies, des fontes et des crues pour la libérer lentement au cours de la saison sèche. C'est en partie grâce à ce mécanisme que les inondations sont limitées, que nos cultures résistent aux sécheresses et que nos puits ne tarissent pas.

Chaque fois qu'un milieu humide disparaît, l'efficacité des reins de notre environnement diminue. Nous pouvons à peine imaginer l'étendue et la portée des conséquences qui peuvent en découler. Un rein malade signifie l'empoisonnement de tout l'organisme. S'il était privé de ses milieux humides, notre environnement ne pourrait plus fournir d'eau potable. Les ressources mêmes de notre technologie, permettant de bâtir des usines d'épuration à coups de milliards, ne pourraient pas empêcher la disparition de la plupart des formes de vie aquatique que l'on connaît. Nos pêcheries seraient anéanties, les oiseaux et les animaux qui dépendent des milieux aquatiques iraient ailleurs, l'équilibre naturel ainsi perturbé verrait s'accroître démesurément les populations d'espèces nuisibles qui n'auraient plus d'ennemis naturels. Comme toute vie sur terre dépend de l'eau, c'est à tout un pays, à tout un continent, à toute notre planète que l'empoisonnement s'étendrait.

Beaucoup d'espèces animales et végétales dépendent totalement d'un type de milieu humide pour assurer leur survie. La disparition de leur habitat peut signifier leur désertion d'une localité, d'une province, voire d'un pays. À l'extrême, l'espèce peut devenir menacée d'extinction comme c'est le cas présentement pour la Grue blanche d'Amérique. Étant donné le fait que plusieurs de ces espèces font l'objet d'une exploitation par l'être humain, et parfois depuis très longtemps, les répercussions d'une telle éventualité s'en trouvent encore accrues. Songez que vos manteaux de fourrure (rat musqué, vison, castor, etc.) proviennent de mammifères qui dépendent essentiellement des milieux humides, que les deux tiers des canards abattus l'automne en Amérique du Nord naissent dans la région des cuvettes des Prairies. Les ressources engendrées par les milieux humides représentent donc une valeur inestimable pour de nombreux citoyens appartenant à toutes les couches de la société.

Enfin, pour cette fraction de plus en plus importante de la population qui recherche ces lieux pour s'y récréer et jouir du spectacle fascinant et gratuit de la faune, leur valeur prend des proportions saisissantes. Ils deviennent au même titre que le repos et la nourriture un besoin vital pour la qualité de leur existence.

Un habitat pour la faune

Le cycle de l'eau dans notre environnement, pareil à celui du sang dans notre corps, permet au milieu humide de constituer un véritable garde-manger. En effet, la pluie et les crues qui délavent le milieu terrestre charrient des minéraux et des milliards d'organismes vivants microscopiques qui seront fixés par filtration dans les milieux humides.

L'abri offert par le couvert végétal, une nourriture abondante et variée et cette ambivalence (terrestre et aquatique) du milieu humide en font un site idéal pour la prolifération d'une faune unique par la variété et le foisonnement des espèces qui s'y trouvent. En fait, nos lacs et nos rivières de même que nos champs et nos bois seraient pratiquement déserts si les animaux qui les habitent ne trouvaient pas un milieu humide à proximité. Beaucoup d'espèces considérées comme aquatiques ou terrestres dépendent de l'autre milieu durant une période plus ou moins longue de leur vie, et souvent, seuls les milieux humides leur conviennent. Le milieu humide, à l'image d'une ville pittoresque, abrite plusieurs formes de vie dont les allées et venues font un peu penser aux nôtres. Ainsi y distingue-t-on les habitants proprement dits, les banlieusards et les touristes.

Les habitants

Quantité d'animaux naissent, vivent et se reproduisent dans le milieu humide. Ils en utilisent au maximum toutes les ressources depuis la nourriture jusqu'aux matériaux pour le nid, la tanière ou simplement l'abri. De l'épinoche, ce minuscule poisson, jusqu'au castor, de la libellule, la grenouille et la salamandre jusqu'aux oiseaux comme le troglodyte ou le carouge, la vie s'organise avec la même complexité que nos propres sociétés.

photo de tortues dans un marais
Photo: Service canadien de la faune

Les banlieusards

Beaucoup plus nombreux que les précédents, ces animaux vivent soit dans le milieu aquatique, soit sur la terre ferme, mais comptent sur le milieu aquatique pour exercer une activité particulière. Ainsi, la plupart de nos canards nichant sur la terre ferme élèvent leurs jeunes à l'abri des herbes d'un marais ou d'un étang tandis que des poissons viennent s'y reproduire dans l'eau peu profonde. Des insectes comme l'abeille, des reptiles comme la couleuvre, des oiseaux comme la paruline ou le Martin-pêcheur et des mammifères comme la musaraigne viennent y trouver leur pitance.

Les touristes

L'importance primordiale des milieux humides pour les oiseaux en migration donne lieu à des spectacles saisissants quand des milliers d'entre eux s'abattent sur un étang ou se regroupent sur les battures vaseuses d'un marais interidal. Véritables touristes dans ces milieux, ces oiseaux, qui les fréquentent surtout au printemps et à l'automne, en profitent pour se refaire des forces avant de poursuivre leur périple qui les conduira tantôt à leurs quartiers d'hiver, tantôt sur leurs terrains de nidification.

Tous ces êtres qui vont et qui viennent sont liés entre eux par une étroite dépendance. Chaque plante et chaque animal joue un rôle essentiel à la survie des autres, de sorte que chaque occupation contribue à l'évolution, à l'équilibre et à la richesse du milieu. Ainsi, sans les insectes pour polliniser les plantes et en assurer la reproduction, le rat musqué et tous ces êtres qui se nourrissent de végétaux verraient rapidement leur garde-manger se vider. Sans ces mêmes insectes dont la grenouille se nourrit, sans la grenouille qu'un héron guette avec patience et sans tous ces oiseaux et ces petits mammifères qui sont les proies du renard, du busard ou d'un autre prédateur, ce fragile équilibre naturel serait rompu, déclenchant l'anarchie et une diminution rapide de la variété des espèces qui utilisent le milieu humide.

Des menaces inquiétantes

Malheureusement et aussi absurde que cela puisse paraître, la qualité de notre vie et finalement notre survie cèdent souvent le pas aux impératifs sociaux-économiques. On continue d'anéantir parfois brutalement, parfois subtilement nos milieux humides.

Il y a plusieurs façons de porter atteinte à ces univers fauniques si précieux. La plus efficace consiste, comme nous l'avons déjà dit, à anéantir totalement un milieu humide par le remplissage. Une autoroute au beau milieu d'un marais côtier, un superport mais aussi le petit quai avec ses accès auxquels vous amarrez votre chaloupe sont tout aussi néfastes. Le drainage à des fins agricoles ou autres a des effets presque aussi désastreux. Il occasionne un assèchement qui implique la disparition, à toutes fins utiles, de toute forme de vie aquatique. Les arbres ou arbustes que l'on coupe dans les limites ou même en périphérie du milieu humide priveront les oiseaux qui les utilisaient d'un abri pour leur nid. Ils devront aller ailleurs et ne viendront plus, en banlieusards qu'ils étaient, se nourrir dans le milieu humide.

La pollution constitue aussi une menace importante. La canette et autres détritus que l'on jette négligemment sur les bords marécageux d'un lac ou d'une tourbière seront vite rejoints par des milliers d'autres. La pollution atmosphérique telle que celle provoquée par les pluies acides, est moins apparente mais aggrave tout de même les problèmes de toxicité existant dans le milieu aquatique. Ce qui fait que cette petite mare qui abritait hier une sarcelle et quelques grenouilles risque de n'être demain qu'un tas d'immondices fréquenté par une faune qu'il est préférable de ne pas nommer.

Que faire?

Jean-Jacques Rousseau a écrit : " Vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous et que la terre n'est à personne ".

Il n'y a donc qu'une chose à faire : changer d'attitude. Il existe plusieurs lois et règlements, fédéraux ou provinciaux, qui visent d'une façon ou d'une autre à protéger les milieux humides. Malheureusement, à cause de la situation économique qui prévaut dans le monde et à cause de l'immensité de notre pays, ces lois sont souvent appliquées de façon inégale.

Malgré tout, nos gouvernements, de même que plusieurs clubs, sociétés ou organismes à but non lucratif oeuvrent avec tous les moyens dont ils disposent dans le domaine de la protection des milieux humides. Que ce soit par l'acquisition et la création de réserves nationales de faune comme le fait le Service canadien de la faune, par l'instauration de parcs, de refuges, d'aires de repos à laquelle un ou plusieurs paliers gouvernementaux et de sociétés collaborent, par des politiques de zonage municipal, de compensations, d'exemption fiscale et autres mesures d'encouragement, on lutte sur tous les fronts. Mais cela ne suffit pas. L'intervenant, c'est vous, en définitive, et sans votre appui, l'action de ces gouvernements et organismes est grandement limitée.

Pour les appuyer, il vous faut d'abord mieux connaître ce que vous défendez. Une foule d'organismes privés (sociétés ornithologiques, groupe de naturalistes, associations de chasseurs et de pêcheurs, de loisirs de plein air) dont les buts sont de renouer contact avec un ou plusieurs aspects de la nature seraient heureux de vous accueillir. Par le biais d'un organisme qui a pour nom Canards Illimités, on investit déjà depuis longtemps au Canada de façon à contribuer à l'amélioration et à la sauvegarde des marais. Adressez-vous donc à votre bureau régional du SCF. Des gens compétents sauront vous mettre en contact avec l'un de ces organismes.

Il demeure plus facile de protéger les milieux humides que d'en recréer. Négliger leur préservation comporte énormément de risques pour notre environnement. C'est maintenant qu'il faut agir.

photo d'une promenade à travers un marais
Photo: Service canadien de la faune

Ouvrages à consulter

  • Atlas environnemental du Saint-Laurent. 1991. Les milieux humides. Des habitats au contact de la terre et de l'eau. Centre Saint-Laurent. Environnement Canada. Montréal (Qc).
  • Éditions Franc-Nord. UQCN. Les milieux humides du Québec : des sites prioritaires à protéger. Supplément à la revue Franc-Nord. N° d'automne 1988. Charlesbourg (Qc).
  • Direction générale des terres. 1986. Les milieux humides du Canada : une ressource à conserver. Feuillet d'information n° 86-4. Environnement Canada. Ottawa (Ont.).
  • Groupe de travail national sur les terres humides. 1987. Le système de classification des terres humides du Canada. Série de la classification écologique du territoire n° 21. Direction de la conservation des terres. Service canadien de la faune. Environnement Canada. Ottawa (Ont.).
  • Groupe de travail national sur les terres humides. 1988. Terres humides du Canada. Série de la classification écologique du territoire n° 24. Direction du développement durable. Service canadien de la faune. Environnement Canada. Ottawa (Ont.) et Polyscience Publications inc. Montréal (Qc).


Publié en vertu de l'autorisation du ministre de l'Environnement
© Ministre des Approvisionnements et Services Canada, 1980, 1989
Réimprimé avec corrections en 1993
N° de catalogue CW69-4/75F
ISBN 0-662-95269-3
Texte: S. Lemieux
Photos: Service canadien de la faune

 

 

 

 

 

 

 

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