Noeud de cabestan gansé

 

 Il offre notamment l'avantage de s'enrouler d'une seule main, où il n'est pas rare qu'il faille le tenir d'une main pendant que l'autre se débrouille seule. Comme disaient les gabiers au temps de la marine en bois : "une main pour soi, et l'autre pour l'armateur..." Quand il n'est pas soumis à une tension constante - par exemple quand on amarre à un quai un canot qui tire par à-coups -, le noeud de cabestan a tendance à se desserrer tout seul. Mieux vaut, donc, toujours l'assurer par deux demi-clefs sur le dormant de l'amarre.

 

Cependant ce noeud est plus facile à défaire que le noeud de cabestan. Il demeure utile comme amarre temporaire.

 

 

 

 

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