Peinturage surfaces bois
Peinture, Vitrerie, Isolation 1966
Propriété des surfaces de bois à retenir la peinture
Suivant leur texture et leur densité les surfaces de bois varient grandement dans leurs caractéristiques de rétention de la peinture, c'est-à-dire par le temps que la peinture peut y demeurer sans se détériorer.
Pour ce qui est des bois mous, en tout cas, la peinture y est retenue avec le plus de satisfaction s'il est léger, à grain fin, et si sa surface est lisse ; la peinture adhère mieux sur les planches à grain uni et sur le côté de l'écorce plutôt que sur le côté du cœur ; le bois de construction de première qualité, libre de nœuds et d'autres défectuosités, se prête généralement bien à la peinture.
Nous donnons ci-dessous une classification des bois mous d'après leurs qualités de rétention de la peinture.
PREMIER GROUPE
Voici les essences de bois mous qui retiennent la peinture le plus longtemps et souffrent le moins des intempéries:
Le cèdre d'Alaska, Le cèdre rouge, Le cèdre blanc du Nord, Le cèdre de Colombie, Le cèdre blanc du Sud, Le cèdre rouge de l'Ouest, Le cyprès du Sud, Le séquoia (Redwood).
DEUXIÈME GROUPE
Les essences de bois mou suivantes retiennent la peinture au blanc de plomb aussi longtemps que celles du premier groupe, mais ne gardent pas les peintures à pigments mélangés aussi longtemps et sont plus facilement influencées par les intempéries :
Le pin blanc du nord, Le pin blanc du Sud, Le pin jaune.
TROISIÈME GROUPE
Les essences de bois mou dont les noms suivent retiennent mal la peinture et sont facilement affectées par les intempéries:
Le cèdre blanc du Sud, Le cèdre
rouge de l'Ouest, Le cyprès du Sud Le séquoia (Redwood),
Le sapin blanc, La
pruche de l'Est, La pruche de l'Ouest ,Le pin à bois lourd,
Le pin de Murray,
L'épinette de l'Est, L'épinette d'Engelmann L'épinette de sitka.
QUATRIÈME GROUPE
Les essences de bois mou suivantes ont les plus mauvaises caractéristiques de rétention de peinture:
Le sapin de Colombie (Douglas
fir), La pruche de l'Ouest, Le pin de Norvège ou pin rouge.
Le pin jaune du
Sud, Mélèze d'Amérique L'épinette rouge (Mélèze).
LES COUCHES DE FOND ET LEUR COMPOSITION
Les couches de fond — appelées aussi couches d'impression, couches d'apprêt ou encollage selon qu'elles doivent servir de base aux peintures à l'eau ou aux peintures à l'huile — jouent un rôle important dans la peinture.
L'aperçu suivant présente sous une forme plutôt schématique des renseignements sur les variétés, la composition et les usages des couches de fond.
On y trouvera en outre un exposé des avantages et des désavantages des huiles siccatives ainsi que des formules pour faire du mastic. Ces renseignements devraient aider le peintre-décorateur à mieux accomplir son. travail.
Voici quelques-uns des produits qui servent à donner lés couches de fond :
Encollage (size)
C'est un composé de colle forte moulue et d'eau. L'encollage est assez souvent obtenu à l'état manufacturé prêt à servir. On l'utilise dans les cas où doivent servir les peintures à l'eau ou en détrempe. On peut aussi l'appliquer entre les couches de peinture à l'huile.
Vernis de fond
C'est un vernis manufacturé, d'un prix peu élevé, qui contient de l'huile et des résines spéciales délayées à la térébenthine. On l'emploie pour donner les couches de fond et boucler les pores du bois neuf à l'intérieur avant d'appliquer les couches de peinture.
Teintes pigmentées de fond
Elles sont composées de vernis de fond additionné de pigments et elles forment une couche de fond peu coûteuse et de bonne qualité. On les emploie aussi afin de remplir les petites cavités, sur les surfaces crépies à l'intérieur, préalablement à l'application de la peinture.
Couche d'apprêt à l'huile
C'est un composé d'huile de lin additionné de piments. Cette couche de fond peu coûteuse s'applique sur les surfaces rudes de stucco et les murs d'un fini rugueux ou sablé.
Couche d'apprêt au savon
Composé de colle forte moulue, d'eau et de savon liquide. On la prépare avec de la colle forte soluble dans l'eau chaude et de parties égales d'alun, auxquelles on ajoute un peu de savon liquide.
Cet encollage s'emploie sur les surfaces destinées à recevoir une peinture en détrempe et rend l'application des couches de fini plus facile. Il augmente le coût des couches de fond à la colle, mais épargne du temps dans l'application des couches de finition. Sur les surfaces poreuses une couche de fond à l'eau peut être employée comme première couche suivie d'une couche d'encollage.
Couche d'apprêt au sucre
C'est un enduit composé d'une certaine quantité de sucre additionnée d'eau. S'emploie sur les surfaces unies qui ne sont pas couvertes de tissus ou de papier-tenture (tapisserie).
Couche de fond or et argent
C'est un vernis spécialement préparé et additionné dé pigments métalliques, tous à base d'aluminium. S'emploie comme couche décorative et protectrice à l'intérieur aussi bien qu'à l'extérieur.
Les mastics comprennent :
Le mastic suédois composé de blanc de plomb, de blanc d'Espagne et de vernis. Il doit être délayé à une consistance plus molle que le mastic de blanc de plomb. On le délaye en effet à la consistance d'une pâte épaisse, en utilisant très peu de vernis. Ce mastic s'emploie pour obturer ou combler des joints et les crevasses qui déparent les surfaces crépies ou de bois, auxquelles il adhère très bien.
Le mastic à polir se compose de blanc de plomb moulu dans de l'huile de lin. Pour le mastic à châssis d'acier il faut ajouter 10% de blanc de plomb en poudre. On doit épaissir le blanc de plomb en y ajoutant du blanc d'Espagne jusqu'à ce que la pâte atteigne une consistance très épaisse.
Ce mastic s'emploie pour mastiquer les vitres et obturer les trous et les gerçures du bois.
PRÉPARATION DES SURFACES À PEINTURER
Connaissant la nature des bois et la composition des couches de fond il est bon d'ajouter un mot sur la préparation des surfaces à peinturer. Le peintre s'expose à bien des déceptions s'il omet ce travail car il faut avant tout obtenir une surface unie et bien nette.
Apprêtage du bois
S'il s'agit de recouvrir du bois neuf, la surface doit être bien unie; sinon il faudra la raboter et la passer au papier sablé afin de faire disparaître ce qu'on appelle communément le «poil du bois». C'est ce «poil» qui, s'il n'a pas été enlevé, forme de petites aspérités visibles à la surface au travers de la peinture.
Couche d'apprêt (primer)
Une première couche, que l'on appelle couche d'apprêt, sera donnée sur toute la surface du bois après avoir enduit tous les nœuds, s'il y a lieu, avec du «shellac».
Cette couche d'apprêt sera préparée, comme nous l'avons vu plus haut, avec du blanc de plomb pur et de l'huile de lin ; elle peut être appliquée telle quelle, ou en lui donnant une teinte plus pâle mais de la même valeur que celle qui doit la couvrir.
Lorsque cette première couche sera sèche, on aura soin de bien mastiquer toutes les fentes ainsi que les cavités laissées par les têtes de clous et dont la rouille ferait ternir la peinture et amènerait la carie du bois sous la peinture.
On pourra donner une seconde couche de «shellac» sur les nœuds qui apparaissent encore à travers la couche d'apprêt, puis le tout sera de nouveau passé au papier sablé fin. Avant de donner la seconde couche de peinture il faudra que la couche d'apprêt soit absolument sèche.
Bois déjà peinturé
S'il s'agit de recouvrir une surface déjà peinturée ou de la rafraîchir, il est préférable de la laver avec une solution de soude caustique (soda à laver) si cette surface est le moindrement graisseuse ou enfumée.
La vieille peinture doit être passée au papier sablé, et toutes les fissures reprises avec du mastic ; aucune soude ne doit être employée pour en faire le lavage.
S'il doit y avoir deux couches, la première devra être absolument sèche avant que l'on s'avise d'appliquer la seconde. Il est préférable de laisser durcir au moins 48 heures toute couche de peinture qui doit être recouverte.
La peinture devra être préparée au blanc de plomb et à l'huile de lin bouillie avec juste la quantité nécessaire de térébenthine pour la rendre applicable.
Si l'on juge une troisième couche nécessaire, cette couche devra être d'une teinte un peu plus foncée. Pour l'extérieur, un peu de vernis sera ajouté à la peinture; pour la durcir, on emploiera un vernis au copal qui résiste à l'eau (spar). Plus de 5% de ce vernis peut cependant faire écailler la peinture.
Si le travail doit être peint en deux tons ou deux couleurs, les panneaux de couleurs pâles doivent être exécutés aussi nettement que possible, en essuyant le surplus sur les moulures. Il faut attendre que cette couche soit sèche avant de découper l'autre teinte ou couleur.
PEINTURES D'EXTÉRIEUR ET D'INTÉRIEUR
La peinture d'extérieur s'obtient soit en préparation prête à être employée, soit sous forme de pâte.
Les recettes pour délayer l'une ou l'autre afin de convenir aux conditions variées qui se rencontrent dans la pratique sont inscrites sur les contenants ou dans les feuillets qui les accompagnent ; ces instructions devraient être suivies attentivement.
Presque toutes les peintures préparées se présentent dans une grande variété de pigments, et plusieurs d'entre elles contiennent des huiles spécialement préparées. Le blanc de plomb s'obtient dans le commerce sous forme de pâte ou semi-pâte.
Le mode d'emploi des pigments est donné dans les paquets ou dans les livrets fournis par les fabricants ; il n'est pas nécessaire de les répéter ici.
Si une préparation de peinture blanche doit être employée pour peinturer à l'extérieur, on la rendra plus blanche par l'addition d'une légère quantité de bleu de Prusse à la quantité qui servira à la dernière couche. Par ce moyen on obtiendra une plus pure blancheur lorsque la peinture sera sèche.
Ajoutez juste assez de bleu de Prusse pour obtenir un soupçon de teinte bleue. Ceci a pour résultat de rendre la peinture plus blanche et l'aide à garder cette blancheur durant une plus longue période.
QUANTITÉS DE PEINTURE APPLIQUÉES SUR DU BOIS NEUF
La couche d'impression
On doit appliquer l'encollage ou couche d'impression non diluée à raison d'un gallon par 450 pieds carrés de surface si la couche d'impression ne doit être suivie que d'une seule couche de peinture de finition.
Pour un travail où trois couches devront être appliquées on dilue la couche d'impression en utilisant une chopine d'essence minérale pour chaque gallon de peinture de base, et l'on appliquera à raison d'un gallon par 600 pieds carrés de surface.
N'ajoutez pas de vernis, d'huile de lin ni aucune autre huile siccative à cette peinture et ne vous en servez pas comme couche de finition.
La couche de finition
Pour une surface sur laquelle trois couches de peinture devront être appliquées on étendra la peinture à raison d'un gallon pour une surface de 600 à 700 pieds carrés.
Si la température est raisonnablement «séchante», une période de 48 heures permettra à chaque couche de sécher suffisamment. Lorsque deux couches seulement sont spécifiées, il sera nécessaire d'étendre la peinture à raison d'un gallon par 550 pieds de surface.
Pour les travaux extérieurs, moins il y aura de térébenthine dans l'huile mieux la peinture se comportera, car étant ainsi très exposée elle est atteinte plus facilement par l'eau qui dissout la térébenthine.
GRILLAGE de la VIEILLE PEINTURE
La préparation de la surface sur des vieux ouvrages est plus difficile que pour le peinturage intérieur.
Il arrive souvent qu'il faille enlever complètement la vieille peinture en la brûlant au moyen d'une torche à gazoline. Lorsque la peinture grille on l'enlève aussitôt à l'aide d'un grattoir.
Tout en tenant la torche d'une main et en la déplaçant lentement, on enlèvera de l'autre main la peinture brûlée avec le grattoir en suivant la flamme de quelques pouces. On aura soin de tenir la torche à une certaine distance du bois suivant l'intensité de la flamme; et surtout de ne pas par mégarde se placer la main sous le feu.
Il n'est pas facile d'enlever la vieille peinture dans les moulures et souvent on doit la dissoudre au moyen d'un décapant (remover). Il se vend plusieurs produits à cet usage, mais il est assez difficile de neutraliser complètement l'effet de l'acide après l'opération, de sorte que l'on constatera au bout de quelques mois des craquelures sur la dernière couche de peinture appliquée.
APPLICATION DE LA PEINTURE SUR LE BOIS
Les peintures s'appliquent au pinceau sur le bois dans tous les cas où il n'est pas économique de la vaporiser au pistolet, ou si un personnel bien entraîné à l'utilisation de ce procédé relativement nouveau n'est pas disponible.
Peinturage au pinceau
Pour bien réussir, on doit tenir le pinceau légèrement mais tout de même avec fermeté. Une pression modérée, bien que soutenue, sera exercée sur le pinceau pour appliquer la peinture sur la surface, et une pression légère, uniforme, pour l'étendre et l'étirer.
Sur les surfaces rugueuses, comme la brique et le béton, il est souvent nécessaire de varier les techniques afin d'atteindre toutes les cavités.
Sur le boîs on devra lever le pinceau après chaque trait avant de commencer une touche de retour. On évitera de planter rudement le pinceau dans les coins ou les fentes, car cela en endommage les fibres.
On ne trempe dans le bidon à peinture que le tiers de la longueur des soies du pinceau et on les essuie ensuite sur le rebord pour enlever tout excès de peinture.
On commence à peinturer par le haut pour terminer par le bas en allant d'une extrémité à l'autre de la surface. En appliquant des traits de pinceaux de haut en bas aussi bien que de droite à gauche, on est certain de bien couvrir la surface, d'étirer la peinture comme il faut et d'appliquer une couche de peinture uniforme.
Si l'on doit recouvrir de grandes surfaces planes avec de la peinture qui a tendance à laisser des traces, il faudra donner les derniers traits de pinceau en un mouvement circulaire plutôt qu'en allant alternativement de gauche à droite et de droite à gauche.
En abandonnant le travail, à la fin d'une journée, on doit s'assurer que la surface peinturée s'arrête à une émarcation bien nette de la construction comme, par exemple, la jonction du toit et d'un mur. Appliquer de la peinture fraîche par dessus une lisière de peinture déjà séchée laisse des traces de mauvaise apparence.
On trouvera plus loin la technique de la vaporisation au pistolet (section La peinture au pistolet).
PARTICULARITÉS DE CERTAINES SURFACES
Les noeuds
Les nœuds que l'on rencontre dans les qualités communes de bois employés dans la construction occasionnent une détérioration prématurée de la peinture qui les recouvre. La peinture y sèche avec moins de lustre, et quand elle est appliquée sur les nœuds du pin, elle atteint le stade de désintégration beaucoup plus tôt qu'ailleurs. Une décoloration jaune apparaît même souvent sur des nœuds que l'on vient à peine de peinturer.
Cette décoloration de la peinture sur les nœuds disparaît rapidement quand la surface est exposée directement aux rayons du soleil, mais elle persiste indéfiniment sur les surfaces que le soleil n'atteint pas.
On prévient la décoloration de la peinture qui recouvre les nœuds en les enduisant d'une épaisse couche de «shellac», comme nous l'avons dit plus haut, mais c'est là une opération qui coûte cher et qui cause souvent des gerçures dans la peinture que l'on applique par dessus.
Les résultats du «shellaquage» des nœuds sont moins déplorables quand il s'agit de surfaces intérieures que lorsqu'il s'agit de surfaces extérieures. Quoique le bois de construction noueux doive être repeinturé aussi souvent que le bois clair de noeuds son apparence est rarement satisfaisante.
La résine
La résine laissée sur la surface du bois cause des craquelures ou l'écaillage prématuré des couches de peinture. On devra enlever les dépôts de résine en les grattant ou en les passant au papier sablé avec soin avant de peinturer.
Si la résine est molle et collante, on pourra la dissoudre en y appliquant de l'alcool de bois. Quand la peinture est fini d'appliquer la résine suinte parfois des planches exposées aux rayon» de soleil ou à toute autre source de chaleur, formant comme des perles sur la surface peinturée.
Ce coulage peut se continuer pendant nombre d'années mais il cessera éventuellement. On enlève la résine suintée en la grattant avant de repeinturer et, si nécessaire, on remplacera les planches qui en exsudent par du bois qui a subi les traitements habituels du séchage à l'air libre ou au four.
INFLUENCE DE LA TEMPÉRATURE SUR LA PEINTURE
Pour le peinturage d'intérieur
Le peinturage d'intérieur peut être exécuté sur le bois à n'importe quelle époque de l'année pourvu que la température des pièces où le travail est exécuté puisse être maintenue, pour la peinture ordinaire, au-dessus de 50° F., et pour l'application de l'émail et du vernis, au-dessus de 65 °F.
Pour le peinturage d'extérieur
Le peinturage d'extérieur devrait être fait par une température favorable, mais les surfaces peuvent être préparées par n'importe quelle température sous laquelle les hommes pourront travailler avec un confort raisonnable. Les contremaîtres devraient se tenir au courant des prévisions atmosphériques quotidiennes.
Il vaut mieux s'abstenir de peinturer lorsque les surfaces sont rendues humides par la brume, la rosée, ou la gelée, lorsqu'il pleut, neige ou grêle, ou lorsque les prévisions atmosphériques annoncent de la pluie dans un délai de quelques heures.
Dans ce cas, on devra retarder le travail de peinture jusqu'à ce que les surfaces donnent l'impression d'être raisonnablement sèches au toucher de la paume de la main.
Sauf en cas d'urgence, le contremaître doit interdire à son personnel de se mettre au travail pour recouvrir de peinture une surface extérieure quand la température est en-dessous de 50° F. En aucun cas il ne doit permettre de peinturer dehors par des températures inférieures à 40° F.
Il ne faut pas non plus se mettre au travail lorsque la brume ou la gelée sont annoncées comme probables dans quelques heures. Ne peinturez pas après 2 heures de l'après-midi durant des périodes où beaucoup de brume ou de gelée sont ordinairement présentes, ou lorsqu'une baisse marquée de la température à 20° F. ou plus bas est prévue au cours de la prochaine nuit.
Emploi des appareils mécaniques
Des appareils mécaniques devraient être employés dans tous les cas où ils épargnent des efforts musculaires ou peuvent produire un travail plus satisfaisant.
Les brosses d'acier rotatives et les sableuses motorisées peuvent être employées avec avantages pour préparer certaines surfaces à recevoir la peinture — particulièrement quand on doit enlever beaucoup de peinture écaillée. Les appareils motorisés sont presque essentiels pour sabler les planchers. Pour appliquer les bouches-pores et la cire, il est recommandable d'avoir recours aux polisseuses à planchers.
Les appareils motorisés que l'on emploie pour mélanger et brasser les peintures épargnent une somme énorme de travail. Les pistolets vaporisateurs devraient être employés pour appliquer la peinture chaque fois qu'il en résultera une économie de travail et d'efforts.