Terminologie de la peinture et outillage du peintre

Peinture, Vitrerie, Isolation 1966

On entend par peinture toute couleur appliquée sur une surface. C'est aussi le revêtement des surfaces murales et des boiseries au moyen de matières colorées, afin de les orner en plus d'assurer leur conservation.

Le peintre en bâtiment est celui dont le métier est d'appliquer les couches de couleur sur les boiseries, sur les murs et autres surfaces.

Le peintre-décorateur, ou peintre en décors fait des décorations murales, des imitations; il pose les papiers-tentures ou «tapisseries».

Le décorateur fait des décorations d'intérieurs; il décore les appartements, les églises, les théâtres, etc.

Pourquoi on peinture.

On peinture le bois, la brique, le béton et la maçonnerie en général, principalement pour les conserver ou en améliorer l'apparence.

Plusieurs métaux sont recouverts de peinture, non seulement pour mieux paraître, mais aussi pour leur protection contre la rouille. Le bois et la brique peuvent être laissés un certain temps non peinturés sans qu'il y ait grand risque de rendre moins utiles les structures dont ils forment la substance.

Personnel requis

Quoique le personnel expérimenté soit préférable pour exécuter les travaux de peinture, une main-d'œuvre non expérimentée peut faire l'affaire quand même, mais à condition qu'elle soit sous la surveillance de contremaîtres qualifiés.

L'emploi sans surveillance d'une main-d'œuvre non expérimentée peut être une source d'accidents. Les contremaîtres doivent avoir une connaissance approfondie des procédés et des opérations propres au métier de peintre; ils doivent de plus être au courant de la façon d'utiliser les outils et machines, ainsi que les échafaudages qui servent dans le métier.

L'atelier de peinture

Fonctions

L'atelier de peinture a plusieurs fonctions: il sert à emmagasiner les ingrédients qui servent à préparer la peinture et l'outillage nécessaire aux mélanges et aux travaux de peinturage; il contient en outre des cabines spéciales pour la vaporisation, pour faire sécher les objets peints et pour accomplir d'autres genres de travaux.

Tout atelier de peinture devrait se conformer aux mesures qui s'imposent afin d'assurer une protection suffisante contre le feu. A cette fin, les plans de l'immeuble et l'installation de l'outillage d'une boutique à peinture devraient toujours être soumis aux «Under-writers».

LE PEINTRE-DÉCORATEUR

Ceux qui pratiquent un métier devraient être familiers avec les exigences de celui-ci. Les peintres-décorateurs vont trouver dans les chapitres qui suivent une foule de renseignements utiles. Cette documentation les aidera, nous le souhaitons, à mieux connaître les principes fondamentaux de leur métier.

PRÉPARATION DES SURFACES

Les surfaces doivent toujours être propres et bien sèches. Ne peinturez pas lorsque la température est humide. Soyez sûr que les couches de peinture posées antérieurement sont bien sèches. Ne peinturez jamais une surface rude et écailleuse sans l'avoir au préalable préparée au racloir ou au papier sablé. Les surfaces ayant été recouvertes de peinture à l'eau devraient toujours être lavées avant d'être peintes.

NETTETÉ et PROPRETÉ du TRAVAIL

Travaillez proprement. Servez-vous d'un chiffon pour essuyer les gouttes lorsque vous travaillez dans une pièce dont les planchers sont peints ou vernis, ou lorsque vous avez à peinturer au-dessus des meubles. Ayez toujours à portée de la main un chiffon, une époussette et un couteau à mastic.

PRINCIPAUX OUTILS DU PEINTRE-DÉCORATEUR

Outillage Usage

Couteau à mastic Cet outil sert à mastiquer les trous de clous et à mastiquer les vitres. Il peut aussi servir à enlever la peinture et la crasse.
Couteau à retoucher Sorte de couteau à mastic à lame large que l'on utilise pour enlever la vieille peinture sur des grandes étendues lorsque celle-ci est craquelée, écaillée ou gercée; aussi pour remplir les joints et les trous, et mastiquer les vitres.
Époussette Pour épousseter les surfaces à finir.
Bocaux à peinture et à mélanges  Ce sont les récipients destinés à contenir la peinture durant le peinturage et à faciliter les mélanges de peintures.
Pinceaux Ce sont les outils par excellence du peintre qui s'en sert pour appliquer la peinture, le vernis, les teintures à la détrempe ou peinture à l'eau.

La forme et la dimension du pinceau dépendent du travail à exécuter.

Les peintres ont généralement besoin d'un pinceau plat de 4½" à 5" de largeur; un de 3" de largeur; un de 2" de largeur; et un de 1½", plat ou ovale, pour appliquer la peinture et les teintures.

Les peintres ont aussi généralement besoin d'un pinceau plat et ovale de 3" pour appliquer le vernis. Un pinceau plat est employé pour appliquer la peinture à l'eau ou pour chauler les bâtisses.
Tamis ou couloirs à peinture On s'en sert pour tamiser la peinture et le vernis. On emploie généralement à cette fin du coton à fromage.
Feutre à polir Ce feutre sert à enlever le lustre ou à polir les petites rugosités des surfaces émaillées et vernies. A cette fin, le feutre est humecté et enduit de pierre ponce en poudre. On peut substituer de l'huile de lin à l'eau pour cette opération.
Lampe à souder ou torche de plombier On utilise la torche de plombier, qui dégage une flamme très chaude et très active pour brûler la peinture lorsque celle-ci doit être enlevée parce qu'elle est craquelée, écaillée ou que, pour toute autre raison, le bois recouvert de peinture doit être mis à nu.

LES PINCEAUX

Pour obtenir des résultats satisfaisants dans l'application de la peinture, de bons pinceaux sont nécessaires et il est important d'en prendre bien soin si l'on veut en tirer le maximum de service. Les vieux pinceaux doivent être conservés et réparés lorsque possible.

TYPES DE PINCEAUX

II faut choisir exactement le type de pinceau approprié au genre de travail à accomplir. Les pinceaux en vraies soies de porc sont supérieurs à ceux qui sont faits de crin de cheval. Il est facile de distinguer les uns des autres: il suffit de tourner un poil entre deux doigts; le crin tourne facilement parce qu'il est rond, mais la soie de porc glisse parce qu'elle est plate.

Pour les ouvrages de moindre importance, on peut employer des pinceaux de qualité inférieure tandis que pour donner une couche d'impression sur de la brique ou du ciment on se servira de vieux pinceaux usés.

Fig. 1.— Nos 1, 2 et 3 — pinceaux ordinaires, servant à étendre la peinture sur les surfaces planes. Ces pinceaux ont 2", 3" et 4" de largeur, et sont pourvus de soies de porc ou de sanglier (china bristle).

Fig. 2.— Nos 4 et 5 — pinceaux plats et très minces, en poils de putois et fouine, de 1" et 2 1/2" pour étendre les laques et vernis; Nos 6 et 7 — pinceaux en poils de blaireau de 1" et 4", pour vernis et émail, triple épaisseur et plats.

Fig. 3.— No 8, pinceau plat à soies blanches, de 1/2", pour émail et vernis, double épaisseur; Nos 9 et 10 — pinceaux plats de 1" et 3", en poils de chameau, servant à étendre les couches intermédiaires d'apprêt sous le vernis des surfaces métalliques; No 11 — pinceau plat, en poils d'ours, large de 3" et servant à étendre l'émail, le vernis, le "shellac"; No 12 et No 13 — pinceaux épais, plats, de 2" de largeur, faits de poils de boeufs de Sibérie, et que l'on utilise également pour les vernis, l'émail, le "shellac", etc.

Fig. 4.— Nos 14, 15 et 16 — pinceaux ovales en soies de porc et pouvant servir en général pour la peinture et le vernis; Nos 17 et 18 — brosses de 1/2" et 1" d'épaisseur à sabler et à nettoyer.

Fig. 5.— Nos 19, 20 et 21 — rinceaux ordinaires à vernis de 1", 2" et 3", plats, faits de soies noires de porc ou de sanglier; No 22 — époussetoir de 2 1/2".

Fig. 6.— No 23 — pinceau plat standard de 4" de largeur; Nos 24, 25, 26 et 27 — pinceaux ovales de 1/2", 3/4", 1" et 1½" faits de soies noires de porc ou de sanglier (china bristle); on s'en sert pour peinturer les petits bois des châssis et ailleurs, où l'espace à peindre est étroit.

ENTRETIEN ET NETTOYAGE DES PINCEAUX

Les pinceaux neufs

Avant de se servir d'un pinceau neuf, on aura soin de le rincer à l'essence minérale, au benzol ou à l'alcool, puis de l'assécher en en faisant pivoter le manche entre les mains.

Les pinceaux usagés

Les pinceaux qui ont servi à l'application des peintures qui sèchent vite doivent être nettoyés immédiatement après usage. Pour en enlever la peinture à l'huile, on devra suspendre le pinceau dans de l'huile de lin ou de l'essence minérale en y faisant tremper les soies, mais en veillant à ce qu'elles ne reposent pas au fond du contenant.

On peut encore rincer le pinceau à l'essence minérale, le laver au savon et à l'eau chaude et le rincer ensuite à l'eau chaude. On l'assèchera en le faisant pivoter rapidement entre les mains. Ensuite, on enveloppe les soies dans du papier fort (kraft) et on couche le pinceau à plat.

Les vernis et l'émail doivent être enlevés avec de la térébenthine, de l'essence minérale ou de l'acétone. Le shellac s'enlève avec de l'alcool et pour nettoyer la peinture au caoutchouc naturel ou synthétique on se sert du benzol.

SHELLAC — en français gomme laque. Le mot "shellac" est un canadianisme que nous conservons tant à cause de sa popularité chez nous et à cause de sa grande commodité.

La peinture à la caséine s'enlève avec de l'eau froide. Il ne faut jamais laisser aucun pinceau tremper dans l'eau.
On peut nettoyer tous les pinceaux dans l'huile de charbon, la gazoline ou la térébenthine — sauf les pinceaux à «shellac» — et on les place ensuite dans un récipient contenant de l'huile de lin.

Les pinceaux ne doivent pas toucher le fond de ce récipient, et pour éviter qu'ils s'y déforment, on les retient par le manche au moyen d'un fil métallique fixé au rebord du récipient en question.

Réparations des pinceaux

Pour rénover un pinceau usé, on devra le faire tremper dans un nettoyeur commercial tel que «Clean-a-Brush» ou le «Save-a-Brush», ou dans un détergent à peinture (remover). On le laissera tremper jusqu'à ce que les soies deviennent douces et souples.

Un mélange d'égales quantités d'alcool, d'acétone et de benzol est aussi efficace pour obtenir l'adoucissement des soies de pinceaux ; si celles-ci sont considérablement gauchies ou tordues on fera tremper le pinceau dans de l'«huile à machine» puis on l'étendra sur une tôle de fer chauffée jusqu'à ce que l'huile en soit rendue à grésiller. Pendant que le pinceau est encore chaud, on en taillera les soies et on les assujettira avec des bandes de métal ou avec du fil de fer.

Quand le pinceau aura refroidi, il faudra le laver à l'essence minérale et le rincer au benzol ou à l'acétone, puis le garder enveloppé dans du papier.

L'OUTILLAGE MÉCANIQUE DU PEINTRE

L'outillage mécanique dont le peintre peut ordinairement disposer comprend les pistolets, les malaxeurs à peintures, les sableuses, les brosses d'acier rotatives et les polisseuses à planchers.

Le malaxeur vibratoire

Les malaxeurs du type vibratoire sont employés pour la peinture contenant des diluants très volatiles. Ces malaxeurs peuvent effectuer le mélange d'aussi petites quantités de peinture qu'une demi chopine jusqu'à quatre bidons d'un gallon.

Ils sont activés par l'électricité et mélangent les ingrédients à peinture en les agitant dans des contenants hermétiquement fermés. Leurs moteurs doivent être à l'épreuve des explosions.

Les malaxeurs à hélices

Les malaxeurs à peinture dont l'élément actif est une hélice sont employés pour mélanger de grandes quantités de peinture dans des contenants ouverts. La peinture y est brassée par des hélices ou palettes attachées à une tige mue à l'électricité. Par mesure de sécurité, leur moteur doit être à l'épreuve des explosions.

Fig. 7.— Malaxeur vibratoire à peinture d'une capacité maximum de 4 gallons.

Fig. 8.— Malaxeur à hélice pour la peinture qui est livrée dans des contenants ouverts.

Le pistolet

 La quantité des pistolets à peinture requis dépend de l'importance de l'atelier. Un petit pistolet s'emploie pour vaporiser la peinture du lettrage au stencil ou des dessins au pochoir; on s'en sert aussi pour effectuer du travail de retouche et de menus travaux de peinturage.

On trouvera à la section La peinture au pistolet et suivantes la technique de l'emploi du pistolet à peinture (spray gun) sur les grandes surfaces, le bois, la tôle, etc.

ÉCHELLES, ÉCHAFAUDS ET AUTRES APPAREILS

Les échelles et échafauds, ainsi que divers appareils complémentaires, sont des plus importants pour le peintre-décorateur. Ils varient en genres aussi bien qu'en usages. Voici un tableau des sortes d'échelles, échafauds et autres appareils dont se servent les peintres-décorateurs et l'usage auquel ils sont destinés:

Sortes d'échelles, échafauds
et autres appareils
Usage
Escabeau de peintre Pour ouvrage jusqu'à 10 pds de hauteur, à l'intérieur et à l'extérieur.
Tréteaux Pour travail intérieur et extérieur, à des hauteurs variant de 16 à 24 pieds. Peuvent aussi servir d'échafaud pour soutenir les madriers.
Échelles à extension,
(avec levier, cordes, et poulies)
Pour travail extérieur, à des hauteurs allant de 16 à 44 pieds.
Échelles pliantes ou télescopantes Pour travail à l'extérieur; à l'intérieur pour les puits de lumière et les escaliers.
Équerres pour échelles (brackets) Pour le travail d'extérieur, pour tenir les madriers lorsque l'on peint des corniches, des cimaises, des plinthes, des murs et des fenêtres hautes.
Madriers Pour travail, intérieur et extérieur, sur des échelles, tréteaux et échelles à extension. Ces madriers doivent avoir au moins 2 pouces d'épaisseur et de 12" à 16" de largeur.
Sabots de fer à échelle Ces sabots, de formes variables, servent à faire tenir les échelles à extension ou pliantes sur le ciment, la brique ou la tuile afin que la base ne glisse pas sur ces surfaces.
Plaques de réparation pour barreaux d'échelles. Servent à réparer temporairement les barreaux fêlés, faibles ou cassés.
Crochets pouvant s'agripper à la toiture ou aux corniches, consistant en crochets de métal attachés à à l'extrémité supérieure de l'échelle. Pour peinturer les lucarnes et les toits.
Échafaudage suspendu comprenant des étriers, une plate-forme munie d'un garde-fou, des crochets de corniche et des amarres. Pour peinturer l'extérieur des gros édifices.
Échafauds brevetés faits d'échelles pliantes accouplées et fixées aux cadres des fenêtres. Pour travail extérieur jusqu'à 10 ou 11 étages.

PRÉCAUTIONS À OBSERVER EN SE SERVANT D'ÉCHELLES, ÉCHAFAUDS, ET AUTRES APPAREILS

Afin d'éviter les accidents ou des blessures en se servant des échelles, échafaudages et autres appareils tels que les amarres, supports, palans et crochets, certaines mesures de précautions devraient être observées. Voici quelles sont ces précautions pour chaque genre d'appareil.

Échelles

II faut toujours sonder une échelle afin de s'assurer qu'elle est en bon état et prête à être mise en usage. Faites en sorte qu'elle soit solidement assujettie à sa base. Voyez à ce qu'elle n'ait pas été affaiblie par des chocs ou des chutes.

Lorsque vous ne l'utilisez pas, placez l'échelle sur un terrain plat afin qu'elle ne soit pas tordue ou forcée. Tenez toujours les montants d'une échelle à extension lorsque vous en élevez la section du haut. En montant ou descendant une échelle, tenez-en toujours les montants.

Réparez ou mettez au rancart toute échelle dont les montants ou les barreaux sont endommagés et rapportez immédiatement ces défectuosités au contremaître dès que vous en faites la constatation.

Ne vous servez jamais d'une échelle sur un toit mouillé ou couvert de givre. Ne descendez jamais une échelle à califourchon, ni en glissant. Assurez-vous toujours que les courroies d'extension soient toujours bien fixées sur les côtés d'un escabeau.

Échafaudage

Un déséquilibre peut être occasionné sur un échafaud lorsque plusieurs personnes s'y placent trop près les unes des autres: voyez à ce que la charge y soit bien distribuée.

Ne sautez jamais sur un échafaud excepté pour en vérifier la solidité et lorsqu'il est près du sol.

Des accidents peuvent résulter de la peinture répandue sur un échafaudage. Par conséquent veillez toujours à bien essuyer tout liquide renversé.

Lorsque vous travaillez sur un échafaud suspendu, ne vous appuyez jamais contre le mur de l'édifice. Ne laissez jamais accroché à un crochet faible, à une saillie sur l'édifice, ou sur le bord d'une couverture le rouleau d'extension d'un échafaud suspendu.

Voyez toujours à ce que les travées tombent d'aplomb lorsque vous déplacez un échafaud suspendu. Lorsque vous suspendez un échafaud, voyez à ce qu'il ait suffisamment de largeur pour se stabiliser.

Voyez à ce que les triangles de support ne soient pas à plus de trois pieds du bout de la plate-forme d'un échafaud, conformément aux règlements.

En faisant le nœud sur un câble d'échafaud, assurez-vous que le câble de tirage soit bien d'équerre avec la plate-forme — et bien noué.

Voyez à ce que les amarres qui pendent soient placées de telle sorte qu'elles ne soient pas prises ou tirées par quelqu'un lorsque l'échafaud sera suspendu.

Lorsque vous travaillez sur un échafaud, ne montez pas sur un bocal ou une boîte de peinture pour atteindre un point trop élevé.

Agrès

Ne jetez jamais de poulies, cordages ou matériaux en bas d'un toit ou d'un échafaud. Rapportez immédiatement toute défectuosité dans le matériel.

Câbles

 Ne laissez pas les câbles frotter contre les parties saillantes qui se trouvent sur les côtés des maisons. On doit se rappeler que l'humidité fait pourrir les câbles; on ne devra donc jamais les laisser dans un endroit humide.

Crochets

Employez des supports approuvés pour suspendre les crochets.

Salopettes et chaussures

Ne portez jamais de salopettes déchirées ou de chaussures trop usées.

Gouttières

 Ne suspendez jamais vos échafauds aux gouttières à moins que vous en ayez au préalable vérifié la solidité.

Lorsque vous doutez du procédé à suivre dans le maniement des appareils qui soutiennent les échafaudages, suivez les lois et règlements du Ministère du Travail.

Les hommes sujets aux crises d'épilepsie, aux étourdissements, au vertige, de même que les gens irréfléchis ou les personnes qui sont nerveuses, ne devraient jamais travailler à une hauteur considérable.

 

 

 

 

 

 

 

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